En 2012, Diana Krall replongeait dans son enfance en remettant au goût du jour des chansons des swinging 30s. Trois ans ont passé, et la diva canadienne change du tout au tout. L’album «Wallflower» est une compilation de reprises de grands classiques de la pop, tels que « California Dreamin’ », « Desperado » ou encore « Sorry Seems To Be The Hardest Word ». Curieuse entreprise pour celle qui s’est fait un nom dans le jazz. Nous avons voulu en savoir plus.
Après « Glad Rag Doll », vous nous revenez avec « Wallflower » un album de reprises de standards pop. Pourquoi ?
Je voulais m’approprier ces chansons que j’aime tant ! Et puis, quand on reprend une chanson déjà bien établie dans les esprits, c’est toujours amusant d’en twister les mélodies. Sur ce disque, le travail était passionnant car on avait envie de trouver le bon équilibre entre mon univers musical et la pop.
Pourquoi avoir choisi ces titres en particulier ?
Ces titres sont pour moi des chansons qui ont rythmé mon adolescence. Ils trottaient dans ma tête, et j’avais envie de les enregistrer. Mais, à ma façon.
Vous avez fait équipe avec David Foster, producteur ayant collaboré avec de nombreuses stars telles que Céline Dion, Jennifer Lopez, ou encore Barbra Streisand. Que vous a-t-il apporté ?
Il a une très bonne expertise de la musique pop que je n’ai pas forcément. On partage une belle complicité qui se ressent, je crois, sur le disque. Par exemple, il joue la plupart des morceaux au piano puisqu’il est plus habitué aux tempos de la pop. C’est un régal !
De nombreux duos jalonnent le disque : Michael Bublé, Bryan Adams, Blake Mills… Comment se sont-ils déroulés...Lire la suite sur Marie France, magazine féminin The post Diana Krall : « Je voulais donner une autre vision de la pop » appeared first on Marie France, magazine féminin.